Le vendredi 06 janvier 2017, j'ai reçu un mail très émouvant que je veux vous retranscrire, ici.
Madame,J’ai lu avec avidité les premiers tomes d’Yggdrasil. Au-delà de votre style d’écriture dont je me régale, je note que les situations de combat que vous décrivez ne sont pas étrangères à votre “spécialité” dans la vie et j’apprécie beaucoup que le héros soit -enfin- une héroïne…Bravo et merci pour les bons moments que je passe à vous lire. J’attends avec impatience la suite des aventures de Nayla.Puisqu’il est de saison d’offrir les vœux, je me permets de vous souhaiter une année 2017 très favorable à vos talents d’écrivaine. Veuillez agréer, Madame, mes hommages admiratifs et respectueux.
P.S. Vous avez bien voulu indiquer votre mail sur vos ouvrages, en retour je vous indique que j’ai 78 ans, marié et grand père. Et en tant “qu’amateur” j’ai comme on dit “fais” l'Algérie (1959 à 1961)...
A ce mail, j'ai voulu répondre...
Écrire apporte beaucoup de joies.
D'abord, il y a une idée, parfois quelque chose de simple, souvent juste un pitch qui tient en trois lignes et la joie de développer cette idée.
Ensuite il y a le plaisir d'aligner des mots, des phrases, des paragraphes et des chapitres. De voir une histoire se créer et d'imaginer un monde, un univers qui n'appartient qu'à soi.
Il y a le bonheur d'inventer des personnages, de leur donner une apparence, une façon de parler, un caractère. De les aimer ou de les détester.
Il y a la jubilation d'écrire le mot fin, puis de recommencer et de peaufiner son texte avec soin.
Enfin, il y a le bonheur de livrer cette histoire aux lecteurs et d'attendre leurs réactions.
Yggdrasil m'a donné toutes ces joies et plus encore. J'ai lu d'excellents commentaires, des chroniques coups de cœur qui m'ont donnée les larmes aux yeux. Quelle joie de découvrir que les lecteurs aiment mon univers et mes personnages. Quel encouragement de lire les compliments des lecteurs sur mon style d'écriture ou sur mon histoire.
Et puis... un soir, je reçois ce message.
Il m'a profondément émue, m'a fait rougir, m'a laissée sans voix, sans savoir quoi répondre si ce n'est merci.
Alors, Monsieur, merci ! Merci grandement pour ces compliments. Ils sont la plus belle récompense que peut espérer un auteur.
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