vendredi 29 mars 2019

Livre Paris 2019

Le 15 et le 16 mars, je participais au Livre Paris 2019 sur le stand de l'Armée de terre. 
Voici un petit compte rendu de ces deux journées très denses.

J'ai pris le train, très tôt, de Rennes vers la capitale, puis le métro pour enfin arriver Porte de Versailles.


C'est toujours une grande émotion d'entrer dans cette antre du livre, de découvrir le stand, l'emplacement, ma table de dédicace. L'armée de terre m'avait vraiment réservé une belle place, je les en remercie.









Un vendredi riche en rencontres, comme toujours. Je retiendrai de cette journée l'échange avec le général Bosser, chef d'Etat-Major de l'Armée de Terre qui avait déjà remarqué Yggdrasil l'année dernière. J'ai donc eu le plaisir et l'honneur de lui dédicacer le tome 1. En tant qu'ancienne militaire, cet échange avec un grand chef comme lui est émouvant.


Le soir, j'ai retrouvé Romain Vivies (l'auteur de Gaheris Rider) pour un petit repas dans un très sympa restaurant libanais. Je connais Romain depuis Livre Paris 2017 et depuis, nous avons beaucoup échangé, partagé un stand à Epinal , échangé encore. Je relis ses livres et lui les miens. D'ailleurs, merci Romain pour tes conseils.












Après une nuit trop courte, je suis revenue dédicacer tout le Samedi avant de repartir vers la Bretagne.


Un grand merci à la librairie, La Petite Boucherie, qui gère le stand. Des professionnels toujours aussi gentils et efficaces. Merci également aux organisateurs de l'Armée de Terre. Je suis toujours très bien accueillie.

Ce que je retiendrai de ces deux jours. La rencontre avec mes lecteurs, venus me voir, venus chercher mes livres, une mention spéciale à Alexandre rencontré l'année dernière au Livre Paris, puis que j'ai revu à Épinal, au salon du fantastique, à Thibault qui lui aussi m'a croisé sur plusieurs salons, à Marie qui avait craqué pour la couverture du tome 1 d'Yggdrasil il y a deux ans, à Khatleen, à Aurore et à Xavier et à tous les autres. 

Je retiendrai aussi les retrouvailles avec plein d'amis auteurs, que j'ai été voir sur leur stand, ou qui sont venus me saluer (Audrey Pleynet, Melanie De Coster, Frédérique Bonizec, Jeanne Sélène, Lynda Gld, Elijaah Lebaron, Armonia Zyra, Khalysta Farall (bravo à elle, elle a gagné le speed dating d'Amazon), Sarah Delysle, Caroline Blineau - Écrivaine, Luce Basseterre... 

Un grand merci aux bénévoles du Salon Fantastique pour cet échange en fin de journée samedi et aux représentantes du Prix des Auteurs Inconnus, venues discuter avec moi. 

Et puis merci, aux amis et la famille qui sont aussi venus me voir (Eric, Sonia, Maxime, Alison, Juliette,...) 

Voilà, 2019 c'est fini, vivement 2020.

mardi 26 mars 2019

Chronique : Silo de Hugh Howey

Dans un futur indéterminé, des survivants vivent depuis plusieurs générations dans un immense silo creusé dans la terre, à l'abri d'une atmosphère devenue toxique. Seul un immense écran relayant les images filmées par des caméras les relie au monde extérieur. Lorsque cette société bannit l'un des siens, il est envoyé dehors, vers une mort certaine, et pourtant, tous sans exception vont, avant de mourir, nettoyer les capteurs des caméras. 
Pourquoi ? Une grande bouffée d air (frais) dans la SF.




Comme beaucoup, j'avais entendu parler de ce livre. Ayant besoin d'un nouveau roman à écouter (de la route à faire), je me suis lancée.

Dès les premières minutes d'écoute, j'ai été très surprise. Je passais d'un livre à la voix dynamique, à soudain, une narration lente, mélancolique, presque dépressive. Ce n'était pas le meilleur choix pour me garder éveillée en roulant, mais je me suis accrochée.

L'histoire commence avec le shérif du Silo qui ne veut plus vivre. On l'accompagne dans sa montée de l'escalier vers le niveau 1. Avec lui, nous découvrons un peu le Silo et sa loi dont la première est de ne pas dire qu'on souhaite en sortir. Le dire vous condamne à être envoyé à l’extérieur pour nettoyer les capteurs et caméras qui filment le monde dévasté autour du Silo.

Le tour de force de l'auteur est de nous faire découvrir le Silo a travers les yeux de personnages différents. On commence avec un, on poursuit avec un autre, puis un autre... Je ne vous dis pas pourquoi on abandonne ainsi les personnages les uns après les autres... Puis, enfin, on rencontre et on suit Juliette. Une belle héroïne qui essaye de découvrir les secrets du Silo.

Chaque personnage est attachant, avec des aspirations différentes, des côtés sombres. Le méchant a un vrai but et ses actions sont compréhensibles. 

L'atmosphère est étouffante, épuisante, triste... On monte et on descend l'escalier du Silo avec les personnages. L'auteur sait nous faire ressentir les odeurs, les sons, les peurs et cet escalier si interminable, qu'il faut monter...

L'écriture est plaisante, poétique parfois et le ton véhicule une mélancolie infinie. 

La narratrice fait un excellent travail. Elle donne vie aux personnages, à leurs troubles, à leurs peurs. Elle renforce le sentiment de mélancolie dont j'ai déjà parlé.

J'ai vraiment adoré Silo.

Ma Note 5/5


samedi 9 mars 2019

Chronique : Esperanza 64 de Julien Centaure

Tout frais émoulus de l’École de l'Espace, Nil, Mila, Élisabeth et bien d'autres, sont en train de rejoindre l'Esperanza 64 en orbite.

Comme son nom l'indique, le vaisseau est le 64e du nom et, à l'instar de ses prédécesseurs, il va, sous deux mois, être lancé vers une étoile proche dans le cadre du programme Exodus. 

Manœuvré par un équipage de 4 000 hommes et femmes, il mettra des milliers d'années pour atteindre sa destination. Il emporte dans sa soute 25 000 000 de caissons, communément appelés cercueils, où sont conservés, congelés, les futurs colons de l'hypothétique exoplanète viable sur laquelle il faudra s'arrêter et s'implanter. Tous ces colons ont été désignés au hasard. 

Le programme Exodus est un projet totalement fou, violemment critiqué, d'autant plus qu'Exodus impose un secret absolu sur ce qui se passe à bord des Esperanzas. Il est sensé permettre, à terme, d'évacuer la moitié de la population d'une Terre exsangue, rétablissant ainsi l'équilibre des besoins et des ressources. Mais les Esperanzas ont-ils réellement une chance de réussir ? 

Très vite, l'équipage de l'Esperanza 64 va être confronté à la terrible réalité de l'espace..




Le côté amusant des abonnements, c'est qu'il faut choisir un livre, presque obligatoirement. Audible ne cessait de me proposer celui-ci, alors j'ai cédé et je l'ai acheté. Cela tombait bien, j'avais une maison à repeindre et j'adore écouter un livre en peignant.

Dès le début, l'auteur nous explique à travers trois personnages principaux (Nil, Mila et Elisabeth) le programme Exodus. La terre était trop peuplée, il a été décidé d'évacuer plus de la moitié de la population, de force, dans des vaisseaux à destination des étoiles les plus proches (c'est-à-dire à quelques dizaines de milliers d'années). Des vaisseaux ont été imaginés, les Esperanzas. Ils embarquent 25 millions de passagers, cryogénisés, empilés dans la soute, 4000 membres d'équipage, des usines, des serres, tout ce qu'il faut pour survivre pendant ce voyage impossible et pour s'installer à destination. 

Les trois personnages font partie de l'équipage. Nil s'est surtout engagé pour ne pas se retrouver enfermé dans les soutes. Mila veut voyager dans l'espace. Elisabeth veut échapper à la terre et rêve d'un monde meilleur.

L'auteur réussit un livre loin de Star Trek. Nous sommes beaucoup plus proches de la trilogie Mars. Il nous explique dans le détail les équipements, comment faire prendre de la vitesse au vaisseau sans moteurs, la vie à bord, l'apesanteur,... C'est détaillé. C'est plausible. Et c'est fou... Les échelles de temps sont justes impossibles et c'est cela qui est passionnant. 

Si le vaisseau et le voyage spatial sont parfaitement traités, les personnages sont trop fades à mon goût. Ils manquent de profondeur et j'ai eu un peu de mal à m'attacher à eux. Malgré cela, je voulais vraiment aller au bout, savoir s'ils arriveraient à destination et comment. J'ai d'ailleurs acheté la suite pour la même raison.

Une belle découverte, donc, que je vous recommande si vous aimez la hard SF ou la SF tout court. Il mérite vraiment d'être lu.

Comme il s'agit d'un livre audio, je veux également indiquer que l'acteur qui narre le livre fait un bon travail, même si j'ai trouvé sa voix un peu monotone (ou alors, c'est l'histoire qui est monotone).

Ma Note 4/5 (pour le manque de profondeur des personnages)


mardi 5 mars 2019

Chronique : Ready Player One de Ernest Cline

L'avenir d'un monde en jeu, une quête pour la récompense suprême.
Êtes-vous prêts ? 
2045. La réalité est devenue insoutenable. Les rares moments pendant lesquels Wade Watts se sent vraiment exister sont ceux où il est connecté à l'OASIS, un vaste monde virtuel dans lequel la majeure partie de l'humanité passe son temps.
Quand l'excentrique créateur de l'OASIS meurt, il laisse derrière lui une suite d'énigmes complexes inspirées par son obsession pour la pop culture des décennies passées. Le premier à les résoudre deviendra l'héritier de son immense fortune et, surtout, contrôlera l'OASIS.
Et Wade résout la première énigme. Il est soudain assiégé de rivaux qui tueraient pour accéder au trésor. La course est lancée. Une seule façon d'y survivre : la gagner.




Je ne connaissais ce livre que par le film de Spielberg. Film que je n'ai d'ailleurs pas encore vu. Lorsque j'ai vu qu'il était disponible en livre audio, j'ai décidé de l'écouter. Et j'ai adoré !

La description de l'OASIS est terriblement addictive. Qui n'aurait pas envie de se retrouver dans Star Wars, dans Star Trek, dans tous les films et séries des années 80 ? Moi, en tout cas, je signe tout de suite. En plus, l'accès à l'OASIS est gratuit. Bien sûr, comme dans tous les jeux en ligne que nous connaissons, ce n'est pas tout à fait vrai. Certes, l'OASIS permet un accès illimité aux écoles (oui, des écoles virtuelles où il est impossible d'être harcelé, par exemple), aux bibliothèques, et aux zones marchandes, mais dès que vous voulez voyager d'un monde à l'autre, il est indispensable de posséder un vaisseau (hors de prix) ou de se téléporter (pas donné non plus).
Wade est un geek, il est même un no life. Il est excusable, car son monde est devenu invivable. Les espaces entre les villes sont devenus des zones de non droit, il n'y a pas de travail, si vous ne payez pas vos dettes vous pouvez vous retrouver serf à vie (esclave donc). 

Wade est un garçon pauvre qui vit dans un immeuble fait de préfabriqués de chantier, empilés les uns sur les autres, avec une tante qui l'exploite. Pour échapper à tout cela, il se réfugie dans l'OASIS avec, depuis cinq ans, une seule obsession : trouver l’œuf de pâques de James Halliday (une sorte de Steve Jobs, immensément riche, misanthrope et un peu fou), le créateur du jeu décédé. Celui qui le trouve, hérite de son immense fortune.

Wade passe donc son temps libre à tout apprendre sur la vie de Halliday, à jouer aux jeux qu'il aimait, à voir et revoir les films et les séries qu'il appréciait. Il sait tout. Mais, depuis cinq ans, personne n'a trouvé le premier indice.

On suit Wade (pseudo : Parsival) dans sa quête et on essaye avec lui d'échapper à ceux qui veulent s'emparer de la fortune de Halliday.

Cette histoire est vraiment faite pour les geeks. On y retrouve des centaines de références, certaines obscures, qui m'ont fait sourire.

L'histoire, qui parfois se perd dans des descriptions de films (wargame), de jeux, ou qui raconte les déboires de Wade pourrait paraître longue, il n'en est rien. A la fin, je ne pouvais plus le lâcher.

Je viens de voir le film et je suis plutôt déçue. J'avais oublié qu'il ne faut jamais regarder un film juste après avoir lu le livre dont il est inspiré. Pris tout seul le film est sympa avec beaucoup d'effet spéciaux. Mais il n'approche pas, même de loin, la richesse du livre$. Disparue les recherches, les énigmes, l'univers tellement gamer... Parzival, qui est tellement malin dans le livre, est devenu un peu neuneu. Bref, déçue. 

Comme il s'agit d'un livre audio, je veux également indiquer que l'acteur qui narre le livre fait un formidable travail. Il a une voix très addictive.

Bref, je suis fan.

Ma Note 5/5


28 nuances de romanciers

Fin janvier 2019, après une discussion entre plusieurs membres des Auteurs Indépendants du Grand-Ouest, nous avons mis au point un hastag de communication pour les auteurs de l'association, mais aussi pour tous les auteurs qui voulaient s'en emparer. 
Ce fut le cas. #28nuancesderomanciers a généré plus de 2000 publications sur Twitter, sans doute autant sur Instagram. Je vous invite d'ailleurs à faire une recherche sur ce hastag, c'est assez génial tout de même.
Un grand merci à tous ceux qui ont participé.



J'ai eu envie de regrouper dans ce billet, mes réponses aux questions.

Jour 1 (Mon dernier romand en emoji)
          Le sujet : 🤺⚔️👩‍👦😨🧙‍♂️🏃‍♂️❄️🗻👿
          Le titre :💧💧💧 🧚‍♀️🧚‍♂️🧚‍♀️

Jour 2 (Ce pourquoi j'écris)
        Parce que j'ai des dizaines (qui a dit centaines ?) d'histoires en tête, que j'adore créer des mondes et que c'est un vrai bonheur de les coucher sur le papier, de les faire partager. 

Jour 3 (J'aime & J'aime pas)
         J'aime : mes chats, lire, écrire, les séries, les films, la sf, la fantasy, star trek, les épées, rester chez moi, le café, le chocolat, les crêpes, le froid, les abers, les amis auteurs de l'AIGO,
         Je n'aime pas : l'injustice, ceux qui font du mal aux animaux, la mauvaise foi, avoir tort, prendre le train, la ville, la foule, la chaleur, les araignées, les insectes.

Jour 4 (Si j'étais un animal)
          Je serai un chat !
         Ou un tigre dents de sabre (private joke avec Les Auteurs de l'AIGO)

Jour 5 (Mon talent caché)
       Je chante merveilleusement bien, un peu comme la Castafiore 🤣🤣🤣, d'ailleurs hier, j'ai chanté en Bretagne (comment ça, il a plu ?)
         Non, en vrai, je pense avoir un esprit analytique qui me permet d'observer les choses autours de moi.



Jour 8 (Mon coin d'écriture)
          Pour l'instant, un coin de table et mon portable (je peux écrire partout). Cela devrait changer bientôt, alors promis, je vous le dévoilerai quand il sera terminé.



Jour 10 (Secret d'auteur)
          Je planifie tout ce que je dois faire (dessins, articles de blog, mail,...), sauf lorsqu'il s'agit d'écrire. Là, je ne prévoie rien... sauf la fin.

Jour 11 (Thé ou Café)
          Café, Coffee, Kaffee...
          Fort, très fort même
          En tasse, en mug, en litre, en intraveineuse...
          Le café, c'est le carburant de mon cerveau....



Jour 13 (Mon festival littéraire préféré)
          Il y a très peu de festivals que je n'aime pas. 
          J'aime beaucoup Livre Paris 2019 bien sûr pour sa démesure.
          J'ai adoré les Imaginales 2019 • 18e édition, à Epinal. 
          Le salon des Aventuriales de Ménétrol était génial. 
          J'ai une grande tendresse pour le Festival Scorfel.

          Mais le but du jeu est d'en choisir un :
         Je choisis donc le Salon Fantastique pour son ambiance, pour les visiteurs tous magnifiquement déguisés.


Jour 14 (Ma petite honte musicale) : 
          Les musiques des dessins animés des années 80.

Jour 15 (Le livre que j'aurais aimé écrire) : 
          Il y en a quelques uns, mais j'admire vraiment le tour de force de Stephen King dans sa saga "La Tour Sombre".

Jour 16 (Le livre qui ne me quitte jamais) :  
          Cela aurait pu être "Le livre que j'aurais aimé écrire", mais l'un des livres que j'ai beaucoup lu est "Dune", la perfection faite SF.

Jour 17 (Mon pire ennemis quand j'écris) :  

          C'est malheureusement l'envie irrésistible d'aller surfer, non pas sur les vagues, mais sur les réseaux sociaux.


Jour 19 (Mon meilleur lecteur) :  
          Je ne veux pas faire de jaloux, vous êtes tous extraordinaire... mais, comme je dois en choisir un/une... Je citerai Chantal membre de mon comité de lecture depuis le début et qui n'hésite pas à m'indiquer, parfois cruellement, les erreurs dans mes récits. Merciiiii.


Jour 21 (Architecte ou Jardinier) : 
          Je suis paysagiste. 
          Je suis donc un jardinier qui trace les grandes lignes de son histoire.
Puis, au fur et à mesure de l'avancement de l'écriture, je détermine les événements en mailles plus fines.

Jour 22 (Si j'étais un personnage de film) : 
          Ripley !
          Un vrai personnage féminin badass ! J'adore.


Jour 23 (Ma gourmandise préférée) :          Le chocolat, sous toutes ses formes : noir, avec noisettes, blanc, au lait...



 Jour 26 (Ma dédicace) :
         J'adapte mes dédicaces aux livres et aux lecteurs...
Ce qui compte beaucoup pour moi c'est l'échange avec les lecteurs..



lundi 4 mars 2019

Journal janvier et février 2019

L'une de mes bonnes résolutions de 2019 était de reprendre mon journal d'écriture. Cette année a commencé par une mauvaise nouvelle, puisque City Editions arrête sa collection Dreamland. Abri 19 ne sera donc pas publié.

Début janvier 2019, je reprend Abri 19, je refais quelques cartes, je mets à jour la version numérique. J'attends le feu vert de City Editions pour la version papier.

Janvier 2019, j'ai publié l'intégrale numérique de Yggdrasil.

7 janvier 2019, carte du Monde du Dessous pour les Larmes des Aëlwynns.

8 Janvier 2019, je prends contact avec Maxime Delcambre pour la couverture du tome 2 des Larmes des Aëlwynns.

9 janvier 2019, je m'inscrit sur Babelcube pour faire traduire Abri 19 et Yggdrasil.

11 janvier 2019, carte des Voies Restreintes pour les Larmes des Aëlwynns.

20 janvier 2019, salon de Theix-Navalo. Très sympa.

22 janvier 2019, je fais affaire avec une traductrice pour Abri 19 (merci Aurélia).

25, 26, 27 janvier 2019, week-end d'écriture avec les auteurs indépendants du grand-ouest.

01 février 2019, je fais affaire avec Elke, sur Babelcube, pour la traduction d'Abri 19 en allemand. Trop contente.

01 février 2019, début de #28nuancesderomanciers.

09 février 2019, J'ai reçu les deux premiers chapitres en allemand de ABRI 19. C'est parfait. 


10 février 2019, remise en vente de la version papier de ABRI 19. 

11 au 13 février 2019, travail sur Les Larmes 2 et sur les cartes que je publie sur le Blog.

14 février 2019, départ vers Avranches pour retrouver Jeanne Sélène. Nous partons ensemble vers ATREBATIA.

15 au 16 février 2019, travail sur Les Larmes 2 et sur les cartes que je publie sur le Blog.

18 au 24 février 2019, travail sur Les Larmes 2.

25 au 28 février 2019, je n'ai pas pu travailler sur le livre, car j'avais des travaux de peinture.

28 février 2019, bilan sur la tenue de ce journal... Bon, ce n'est vraiment pas évident à tenir. Cela ne l'a jamais été. Ado, après la lecture d'Anne Franck, j'avais essayé, mais je n'ai jamais réussi à l'entretenir. Allez, je croise les doigts pour la suite !

dimanche 3 mars 2019

Atrebatia - 16 & 17 février 2019

Le 16 et le 17 février, je participais au festival Atrebatia à Arras avec mes amis de l'association des Auteurs Indépendants du Grand-Ouest.



Je vais essayer de vous narrer cette nouvelle expédition. 



Je suis donc partie dès le jeudi un peu chargée. 



Je suis arrivée dans la soirée en Normandie, chez Jeanne Sélène. Non, ce n'est pas Jeanne, mais Barbouille, le lama.











Nous sommes partis en camping-car jusqu'à Arras où nous avons retrouvé Audrey Pleynet, Mélanie De Coster et Aidan Fox pour installer notre stand le vendredi soir dans le très beau beffroi d'Arras. 

Puis Audrey, Mélanie, Aidan et moi, nous avons rejoins le logement loué à quelques kilomètres d'Arras.
L'endroit était un peu spartiate, mais le propriétaire très sympa.
Nous avons passé la soirée à discuter, assis sur nos lits.



Le samedi, j'étais prête à accueillir les visiteurs.











Ils vinrent nombreux.






Certains sont venus en promenade, d'autres intéressés par les livres, d'autres avec de splendides déguisements. 














Le soir, nous avons assisté au spectacle donné devant le beffroi, puis nous avons été dîné dans le lieu prévu par les organisateurs (excellent repas), avant de rentrer dans notre logement.



Le dimanche, quelques-uns de mes lecteurs sont venus me voir. C'est toujours une grande joie et émotion de rencontrer des gens qui ont lu et aimé mes livres. Merci d'être venus. 






Nous avons également eu le droit à une aubade... 
Ce que je retiens de ce salon ?



Une excellente ambiance, des organisateurs formidables de gentillesse, de prévenance et de professionnalisme. 

Nous avons été chouchoutés (Merci pour le café distribué tout au long de la journée).



Avec Audrey Pleynet et Aidan Fox


Et puis, comme toujours, une formidable synergie entre les membres de l'AIGO. Nous pouvons discuter des heures sur des sujets divers, rire de tout, nous entraider. Faire des salons dans ces conditions est vraiment génial.


Enfin, ce fut le soir. Nous avons remballé nos cartons avant de repartir.
Nous reviendrons sûrement.